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Article dans "Le Bien Public "


«Le bijou, c’est une longue histoire », rapporte Brigitte-Jezabelle Froissart, qui a grandi à Talant avant de quitter la région dijonnaise, à l’adolescence. « J’avais une collection de minéraux depuis l’enfance : j’ai toujours été attirée par les pierres, les gemmes. Je suis très focalisée sur les couleurs et les formes », confie la créatrice. Et d’expliquer : « J’ai retrouvé des carnets de dessins que j’avais lorsque j’étais jeune fille. Il y a trois ans, après avoir passé une trentaine d’années dans un tout autre ­registre professionnel, j’ai décidé de lancer ma ­propre marque. Pour moi, c’est une seconde vie ! Je veux continuer cette aventure de créativité ». La chouette comme emblème Et devinez ce qu’a pris pour emblème “Jezabelle” ? : « Pour ma marque, j’ai choisi la chouette car elle me rattache à Dijon. La chouette est le symbole de la ville ; et je suis de tout cœur et depuis ­toujours à Dijon. J’y vais très souvent, j’y ai encore des amis et de la famille. Sur chacune de mes pièces, est gravée ma ­petite chouette, qui est ma marque de fabrique, en plus des poinçons obligatoires ». Six pièces à Dijon Pour la jeune marque Jez Debugey, c’est une reconnaissance importante d’avoir six pièces sélectionnées pour être exposées par le comité professionnel de développement de l’horlogerie, de la ­bijouterie, de la joaillerie, de l’orfèvrerie et des arts de la ­table qui a lieu du 24 au 29 juin à Dijon (lire ci-dessous). « C’est un bon moyen de me faire connaître auprès des grandes bijouteries dijonnaises qui, j’espère, viendront à l’exposition », remarque la créatrice qui précise : « J’achète mes pierres et je fais fabriquer mes bijoux par des ateliers spécialisés que je connais depuis vingt ans, et qui ne sont qu’en France ». INFO Jez Debugey, showroom du mercredi au vendredi, de 13 à 19 heures ou sur rendez-vous, 33, rue de l’Arcade, Paris (VIIIe ).

La créatrice “Jezabelle”, qui a grandi à Dijon, a pris ­comme emblème de sa marque de bijoux la petite chouette, en signe d’attachement à la cité des ducs.

«Le bijou, c’est une longue histoire », rapporte Brigitte-Jezabelle Froissart, qui a grandi à Talant avant de quitter la région dijonnaise, à l’adolescence.

« J’avais une collection de minéraux depuis l’enfance : j’ai toujours été attirée par les pierres, les gemmes. Je suis très focalisée sur les couleurs et les formes », confie la créatrice.

Et d’expliquer : « J’ai retrouvé des carnets de dessins que j’avais lorsque j’étais jeune fille. Il y a trois ans, après avoir passé une trentaine d’années dans un tout autre ­registre professionnel, j’ai décidé de lancer ma ­propre marque. Pour moi, c’est une seconde vie ! Je veux continuer cette aventure de créativité ».

La chouette comme emblème

Et devinez ce qu’a pris pour emblème “Jezabelle” ? : « Pour ma marque, j’ai choisi la chouette car elle me rattache à Dijon. La chouette est le symbole de la ville ; et je suis de tout cœur et depuis ­toujours à Dijon. J’y vais très souvent, j’y ai encore des amis et de la famille. Sur chacune de mes pièces, est gravée ma ­petite chouette, qui est ma marque de fabrique, en plus des poinçons obligatoires ».

Six pièces à Dijon

Pour la jeune marque Jez Debugey, c’est une reconnaissance importante d’avoir six pièces sélectionnées pour être exposées par le comité professionnel de développement de l’horlogerie, de la ­bijouterie, de la joaillerie, de l’orfèvrerie et des arts de la ­table qui a lieu du 24 au 29 juin à Dijon (lire ci-dessous). « C’est un bon moyen de me faire connaître auprès des grandes bijouteries dijonnaises qui, j’espère, viendront à l’exposition », remarque la créatrice qui précise : « J’achète mes pierres et je fais fabriquer mes bijoux par des ateliers spécialisés que je connais depuis vingt ans, et qui ne sont qu’en France ».

INFO Jez Debugey, showroom du mercredi au vendredi, de 13 à 19 heures ou sur rendez-vous, 33, rue de l’Arcade, Paris (VIIIe).

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